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Auto-psy d'une névrosée

18 septembre 2007

Murphy, lâche moi la grappe.

L'impression que c'est NOTRE queue qui avance pas... Ben y'a quand même des gens qui doivent l'avoir plus souvent que d'autres.

Par exemple, ça n'arrive pas à tout le monde d'aller faire ses courses et de choisir LA caisse où une mamie qui vient faire ses courses le samedi aprem en même tant que tous les gens qui bossent et qui a pas assez en liquide pour payer et n'a rien dans son sac à main XXL qu'elle fouille 3 fois pour payer son caddie blindé autrement.. D'attendre ensuite que la mamie choisisse quels articles elle retire, qu'elle arrête de négocier pour revenir payer plus tard...

Des fois, on s'en sort quand même pas mal. A condition d'être une femme. De sourire. De faire minimum du 90B. Et là, 3 gentils flics rouennais (une des conditions nécessaire est aussi probablement d'habiter en Normandie, pour trouver des gens agréables) se portent volontaires pour vous changer votre roue. Et pour vous proposer un rencard.

Mais là, je me suis dit que ça n'arrivait qu'à moi:
préfecture ce matin, bureaux des cartes grises. Deux bonnes femmes se partagent les clients, comme pour le fromage on prend un ticket, on va payer à la caisse, des courses quoi !

Et comme au fromage, le principe c’est que ton numéro de ticket est appelé sur un espèce de cadran holographique au dessus des bonnes femmes. J’ai le n°85, y’a 6 personnes qui attendent avant moi. Patience... Après une bonne demie-heure d’attente au milieu du flic qui rôde en frappant sa matraque sur sa paume, des nerveux qui viennent essayer de récupérer leurs points et des excités qui s'engueulent avec la bonne femme des Séjours, la bonne femme de droite passe au n°84. Ce dernier ne venant pas dans les 20 secondes qui suivent (elles doivent être payées au nombre de cas traités dans la journée), elle enchaîne avec mon numéro. Je me lève soulagée de passer enfin, et arrive en même temps que le 84 qui venait de lever le nez de son journal. Ok, pas de soucis, elle recule son compteur et revient sur le 84. La magie de ce système, c’est que le 85 a donc déjà été compté, et la bonne femme d’à côté, après avoir achevé le 83, elle appelle le….86 ! J’attends, je me dis que c’est peut-être que le 85 doit être appelé chez l’autre bonne femme. Eh bah non ! Et le PIRE, c’est que quand elle a appelé le 87, je me suis précipitée sur son bureau et là le 87 m’a flingué de ses yeux, comme si c’était ma faute…

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31 août 2007

La volière

Et puis d'abord, pourquoi on appelerait ça un tableau de chasse?
Depuis quand, hormis Miss Stone, on tue les mecs qui osent s'aventurer dans notre lit (ou ailleurs)?

Non, je suis pas d'accord.
     C'est vrai qu'il y a le côté chasse, on cherche le gibier, on se bat pour l'amener jusque dans le piège sans qu'une autre chasseuse prenne les devants, on tire dessus, on l'épuise,... MAIS on les laisse en vie, on en a besoin, quand même!
     C'est vrai aussi qu'il y a le côté tableau, on aurait bien envie d'afficher un trombinoscope à notre porte avec des "le 24 aout 2005, j'ai épuisé André". Cherchez pas, je ne connais pas d'André et je n'ai peut-être pas fait l'amour le 24 août...

Moi, j'appelerais plutôt ça une volière: Quelques fois on arrive à attraper un bel oiseau, on arrive à le retenir quelques temps, mais il finit toujours par s'envoler. On s'en fout, ce qui compte c'est qu'on a réussit à l'attraper. Et puis il reste dans la volière, il n'est jamais bien loin et si on l'appelle, il arrive qu'il revienne.

En réalité, il reviendra s'il se souvient que la visite était agréable. Voir même un jour, il reviendra pour qu'on le mette en cage. Note: Penser à prendre une jolie cage, pour qu'elle aille parfaitement à son doigt.

13 août 2007

Comment ne pas perdre la tête?

{les amants de St Jean}

Je ne sais pourquoi j'allais danser
A Saint-Jean au musette,
Mais quand un gars m'a pris un baiser,
J'ai frissonné, j'étais chipée

Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.

Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être
Beau parleur chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais je l'aimais.

Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs
Un serment n'est qu'un leurre
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son cœur.

Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus
C'est du passé
N'en parlons plus.

J'attends celui qui saura rester plus de 3 mois avec moi, celui qui sera assez courageux pour relever le défi impossible de me combler tout en étant heureux. J'ai 21 ans et je ne crois plus à l'Amour. Plutôt regarder un épisode de Sex & the City que d'attendre le prince charmant.

4 août 2007

Have a Break, have Sex

Bonne nouvelle.

       C’est pas si mal que les hommes soient plus nombreux que les femmes sur Terre. Ca met ainsi les femmes, aussi connes et/ou laides soient-elles, en position de force. C’est la femme qui a le pouvoir de refuser. Bien sur,  il reste un peu de pouvoir aux hommes: La femme ne peut pas avoir forcément l’homme qu’elle veut.

Mais il est fort à parier que la femme ne finira pas sa vie entourée de magazines pornos, de voitures tunées et de potes véreux aux abdos Kro repoussants. Non, la femme pourrait –dans la pire perspective- trouver LE gars désespéré qui l’acceptera.

Mais on revient alors à la vision du pervers avec ses pornos, ses bières et ses voitures. Ca craint, le genre de mec qui passe dans -confessions intimes- parce qu'il préfère Johnny/son chien/sa secrétaire/sa maman/sa voiture à sa femme. On peut espérer que ce pourcentage de mecs est infime, et qu'on a donc un large choix dans le consommable. Ca me fait d'ailleurs penser qu'il faut espérer également que les mecs consommables ne deviennent pas tous gays, ou alors je deviendrais  lesbienne.

Tout ça pour dire, je trouve ça jouissif de se faire draguer par une troupe de mâles en chaleur. Ca donne l'effet du coq dans le poulailler, en plus d'avoir l'impression d'être belle, on les regarde essayer un par un, et finalement on choisit le meilleur. J'adore!

Ceci dit, j’aurais bien aimé profiter un peu plus de Lui ou de lui. Mais l’alcool, la fatigue, les morts-de-faim qui tournaient autour empêchaient tout acte sexuel. Merde.

Bon, on a pas sauvé le monde, mais on a quand même pris notre pied. A la prochaine, mon dieu.

31 juillet 2007

Making the same mistakes again, ABCCEJJNMRTTT

13-13-13-13-13

Je collectionne pas (ou au moins, pas volontairement) mais étant un tout petit peu superstitieuse j'aimerais bien passer le cap du 13. Ca sonne comme "pause", comme "fini de rire" ou bien comme "pauvre fille, tu trouveras jamais un mec qui passera plus d'une nuit avec toi". La pauvre fille ne vendrait son tableau de chasse pour rien au monde. Mine de rien, pas si facile de trouver 13 mecs qui font office de brad pitt départementaux.

Petite analyse:

Combien de
*   
"j'aurais pas dû"? 1,5
* non consentant: ahah, zéro!
*   relation "sérieuse": hmm... 2,5 ou 3. Je peux dire 4 si on compte mon plan cul? ça marche pas?
*
"peut mieux faire"? 6, je dois être exigeante.
*   
"waooou j'en reprendrais bien encore un peu"? 6, pas si exigeante finalement...

Tiens, mon premier est inclassable. Il faudrait qu'on remette ça, que je puisse le ranger avec les autres. Hoplà. La marchandise...

J'ai toujours envie du meilleur, du plus agréable, du plus orgasmique, du plus excitant, mon dieu du sexe quoi. Suivi de pas très loin par le rugbyman, une valeur sure. C'est bien le rugby, c'est bien le sport. Je veux épouser un sportif professionnel. Poussez pas y'en aura pas pour tout le monde...

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12 juin 2007

...*U2 - Bad*...

Tout est triste aujourd’hui.

Les finaux approchent, et un nouvel échec aussi? Combien d’UVs, combien d’heures à stresser devant les mails, combien à réviser ?

Le semestre se termine, et encore une histoire qui n’aura jamais conclut, et sûrement des regrets à cause de ça. Joker avait déjà l'hameçon dans la bouche, y'avait plus qu'à remonter la ligne. Mais non, je manque cruellement de courage pour aller dire à mon Joker "tu me plais". C'est même pas que ça m'intimide, c'est que j'ai pas envie d'avouer qu'on me plait, je l'ai déjà trop fait avant, j'aime pas le dire, j'aime pas faire plaisir aux jolis garçons. C'est comme ça.

Le rugby se finit doucement, les gens désertent l’entraînement, le terrain est vide, on doit jouer avec les mecs pour pouvoir jouer à 7 contre 7. Heureusement, la mairie a réparé les lumières depuis un moment, sinon ça serait vraiment morbide.

Saison 3 de Desperate Housewives achevée aujourd’hui, triste aussi, et il fallait qu’Edie se suicide…

Je vais avoir un nouveau chat, il est joli. Enfin derrière tout ça, y'a 10 ans de vie commune avec mon chat précédent, j’en ai pris soin comme un petit frère, et il a fallu qu'un connard de parisien traverse ma campagne à l'allure d'une moto sur le periph et vienne tuer mon chat. J'aimerais bien que ce mec là soit puni pour ça. S’il pouvait avoir mal comme il nous a fait du mal…

Heureusement, dans un mois j'irai à Cagliari voir Laura, histoire de la voir avant de partir -très certainement- pour l'Espagne.

20 mai 2007

"finalement la capote c'est un peu comme un anti-virus" (thibault)

  • Merci pour ces fous rires qui font travailler mes abdos.

  • “She was always there when I needed her, but when she needed me…” {Victor, Desperate housewives, S3E17}. Il dit ça parce que sa femme, c’était plutôt sa maîtresse. En gros quand il voulait se vider les couilles, hop hop femme! Mais il se foutait de savoir ce qu'elle voulait, à quel moment elle avait besoin de tendresse. L’ennui, c’est que je me suis sentie concernée par ces mots. Je suis toujours là quand -ils- ont besoin de moi, mais -ils- ne sont jamais là quand je le voudrais plus que tout… C'est ça, la solitude. Etre seule quand on a besoin de quelqu'un, et goûter quand même à la compagnie mais pas sur commande. A partir de maintenant, c'est moi qui décide.

  • Mon prof de TP m'a fait un raz-de-marée de compliments. Celui qui me plait le plus, c'est de me dire que je suis quelqu'un d'agréable parce que je souris tout le temps. Et il qui croit tout est facile pour moi, que pour avoir ce que je veux il me suffit de sourire… D'accord, j'aurais peut-être une bonne note à ce TP s'il se souvient de moi en corrigeant. D'accord, mon entretien d'anglais est largement facilité par le fait que le prof prendrait bien mon numéro. Mais la plupart du temps sourire ne suffit pas. Si ça suffisait, il y aurait dans mon lit mon dieu du sexe pour une partie de jambes en l'air endiablée.

  • On ne croise pas deux chemins si différents pour rien.

  • La mission de la semaine, après TN03, c’est de ne pas miser sur le Gala pour conclure (Joker). Non, le Gala sera juste une soirée entre potes (rugby ou d’autres, le choix promet d’être difficile!) où l’on va boire, danser, chanter, rire et s’habiller comme des pouffes. Faut pas en attendre trop, c’est comme ça qu’après la soirée devient décevante. vécu inside.

    Pour finir, il me parait bien de placer cette petite note d'humour (qui n'en est pas!)
    « Tu m’appelles pas parce que je suis avec ma meuf, mais après on baise, promis ! »

16 mai 2007

Woohoohoo

  • Voilà, une semaine avant le Gala et toujours pas de robe qui me permettra de mettre le fameux Joker dans mes filets. Pourtant, il irait foutrement bien à mon tableau de chasse! Là on entre dans la phase « urgence vestimentaire» mais elle est malheureusement montée en parallèle (mauvais jeu de mots en rapport avec ps22, l'électricité et toutes ces frivolités détestables) avec la phase « comment réussir son dernier médian ». Le plus important, c'est la robe. Je voudrais bien celle de l'année dernière, quand tout le monde est en noir, c'est bien d'avoir une robe rouge, on se fait plus facilement remarquer. Mais elle était pas à moi, comme celle que je mettrai probablement cette année.

  • La connerie du jour est offerte pas les lycéens/étudiants et les opportunistes qui jouissent en brûlant des voitures (essayez la masturbation, c'est mieux pour l'environnement): C’est le bon jour pour casser et crier dans la rue des slogans que les Canal+, Laurent Ruquier, Marianne et autre infamies leur ont fait avaler. Au milieu des « hitler », « facho », « le pen », «bush » et autre comparatifs risibles trône le nom de notre nouveau président élu à 53,5%. Je déteste ce manque de respect.
    P
    ourquoi c’est toujours des cons qui descendent dans la rue, ceux qui se font manipuler par l’effet de mode « anti-droite »…
    Pourquoi ne pas attendre la 1ere réforme douteuse de Sarko pour manifester ? C'est idiot.
    Alors qu’en plus on vient de récupérer un 1er ministre acceptable… Mais je vais pas m’égarer plus longtemps dans la politique, certains ont du mal à accepter les idées des autres, comme par hasard c’est toujours les gens fermés d'esprit (et de gauche, mais ça va pas forcément ensemble) qui méprisent les gens qui votent à droite.
    J'ai voté Sarko. "Cet homme est dangereux". Méprisez moi, j'assume.

  • Sujet beaucoup plus excitant, mon dieu du sexe a refait surface. Il revient à la charge, de son point de vue, JE n'ai pas donné signe de vie. La vie est pleine de suprises... Envie de toi.

14 mai 2007

No Sea, No Sex, No Sun

Où es tu ? Je suis lassée d'attendre de tes nouvelles. J'ai une bonne dose d'hormones en furie dans le corps. J'ai envie de toi, je n'en peux plus d'attendre.Je voudrais juste quelques mots, pour me réchauffer un peu. Oui, je suis en manque. Mais pas de n'importe qui, en manque de mon dieu du sexe, qui pourrait me blâmer ?

Cependant, semaine chargée d’hormones masculines qui s’annonce :

*On commence dans le train, 1h30 de jeu de regards avec un illustre inconnu. Illustre inconnu pas trop mal foutu, environ 22 ans, coupe au bol comme on en faisait en série quand j'étais au collège, les cheveux châtains clairs, en bataille pour se démarquer de la-dite coupe de collégien, l'air un peu endormi, le regard fuyant, un corps de beau gosse MAIS ma foi mal habillé. Soit, on peut faire abstraction, ou le rhabiller plus tard! Le wagon rempli de parisiens aussi pressés que désagréables se vide tout au long du trajet, si bien que les 20 dernières minutes se passent seul à seule avec lui. Imaginez, un wagon pour nous tous seuls, je vois déjà ce qu’on aurait pu faire... Et j'y ai pensé jusqu'à ce qu'à contrecoeur je descende du train. Peut-être qu'on aurait pu réaliser ce fantasme, il m'aurait proposé, je..euh...non pas sûr. J'aurais réfléchi, disons. Toujours est-il que ce mec a un talent qu’il ignorera probablement toujours, mais me dire à moi, qui suit à la recherche de la moindre marque d'affection et de tendresse « excusez moi mais vous avez des yeux magnifiques »,... Ca fait du bien. Un lendemain de cuite, j'ai des yeux magnifiques. Je trouve aussi, le maquillage a plus d'effet le lendemain! Note: se maquiller la veille pour choper. Quoi qu'il en soit: Merci d’avoir embellit mon week-end, d’avoir osé un compliment dans un contexte aussi inattendu, et désolée de ne pas avoir pris ton numéro, je n'ai pas eu le temps.


*Même week-end, quelques heures après, mon fantasme de P1 fait irruption et revient dans mon champ de vision. On s’est ratés de peu aux Ovalies, ça m’embête un peu parce que c’est le genre de mec que j'ai envie de recroiser voir plus si affinités.

*
Dimanche soir, mon premier amour qui vient appuyer mon manque d’affection avec une conversation tendancieuse, aux grandes lignes sexuelles comme d'habitude.

*
Et enfin ce matin, c’est mon Joker qui prend les devants et qui essaie de commencer une conversation. Manque de chance, le lundi matin c’est pas mon heure et on s'est à peine dit bonjour que je l'avais déjà expédié. Essaie encore chéri ;)

Voilà, la page hormonale bouclée, je vais pouvoir dire un truc de fille. Est-ce que vous savez qu’on commence à rentrer dans la période La Redoute et 3 suisses qui pourrissent vos boites aux lettres avec des femmes-minces-qui-accouchent-en-césarienne présentées en maillot de bain ? Si vous savez ça, alors vous savez sûrement aussi que pour beaucoup de femmes, c’est le moment qui marque le début des privations pré-estivales.  A cette occasion, on peut voir plein de manies stupides comme peser ses 200g de pâtes, compter son nombre de calories, avaler des produits Weightwatcher ou d’autres actions inconsidérées de la sorte. Sauf la drogue, ça on a le droit. J’ai pas encore décidé ce que j’allais faire, ou peut-être arrêter de me peser à chaque week-end où je reviens en normandie. Non, peut-être arrêter de boire...

11 mai 2007

...*vous ne raterez plus vos médians par hasard*...

Le Triskell. Situé à 100m à peine de l’UTC, ce bar pourrait être le lieu de prédilection (entendre par là débauche) du monde étudiant aux alentours ; mais non, en jetant un œil à l’intérieur, vous y trouverez des jeunes un peu plus vieux, genre 25/35 ans, des habitués, des habitants du quartiers, des gens qui viennent manger mais aussi des gens qui aiment les concerts qui rendent toute conversation impossible dans ce petit Irish pub. Il y a mille et unes raisons pour que les étudiants n’y aillent pas, déjà parce qu’on ne peut pas finir par terre complètement ivre à vomir ses tripes. Et puis les prix, payer 1,60€ pour un thé alors qu’on a le même au Pic à 25 centimes, ça fait mal au cul.

Toujours est-il que le Triskell, il reçoit quand même parmi ses habitués une troupe étudiante. L’habitude de clore les entraînements de rugby par une bière ou deux, la rareté des bars de Compiègne qui diffusent les matchs de rugby ont eu raison de notre présence. Et au fil du temps, c’est devenu pour moi le bar emblématique du rugby.

Cette semaine de merde s’achèvera ainsi au Triskell, avec The Corrs en fond sonore et Captain, Céline et Isa à ma table. De cette semaine de merde, je tire un bilan désastreux :

1 fusible en moins

2 stylos utilisés jusqu’à l’os en médians

3 médians ratés

4 heures de sommeil par nuit

5 crises de panique et pétage de plombs.

Et en petite conclusion, je pourrais dire qu’effectivement, réussir un partiel sans dormir et/ou sans réviser, ce n’est plus possible. La prochaine fois, je m’y prendrais avant la veille. Dit-on.

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Auto-psy d'une névrosée
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